Les -MMCQ voudraient notamment que le gouvernement fédéral revienne à l’ancienne limite du nombre de travailleurs étrangers temporaires (TET) à bas salaire par entreprise.
« -Ils sont revenus avec la limite de 10 % des -TET à bas salaire. On demande de revenir à 20 %, indique le premier -vice-président de -MMCQ, -François -Routhier. Ça nous permet d’éviter de perdre les travailleurs étrangers qu’on a déjà. On comprend très bien la situation avec l’immigration. Par contre, ce qui est important, c’est de garder dans nos usines ces -gens-là qu’on a formés, qui sont intégrés. On ne parle pas d’aller chercher des nouveaux, mais d’éviter de perdre ceux qu’on a. »
L’organisation souhaite aussi l’élimination de l’interdiction de recruter des -TET dans les régions métropolitaines où le taux de chômage dépasse 6 %, le retour au permis de travail de deux ans pour les postes à bas salaire ainsi que le déblocage des programmes d’immigration économique permanente au -Québec. L’association interpelle directement la ministre fédérale de l’Immigration, des -Réfugiés et de la -Citoyenneté, -Lena -Metlege -Diab.
« -On n’est pas les seuls à le faire non plus. Il y a plusieurs regroupements qui représentent les manufacturiers autant ici en -Mauricie-Centre–du-Québec que partout au -Québec qui réclament la même chose que nous. Ça fait suite aussi à des discussions qu’on a avec nos membres. On se rend compte qu’il y a des troubles qui s’en viennent avec ça. »
Après une tournée des entreprises de la -Mauricie et du -Centre-du-Québec effectuée dans les trois derniers mois, l’association constate que des entreprises sont freinées dans leur développement.
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